sans titre
je suis là et las j'ai le la en tête et les là-bas au coeur
et ici ou ailleurs à vouloir tout avoir on en perd son pays
et solitaire je tergiverse sur le fond et sur la forme des chose surtout des être fantasmagorique
des ectoplasme au couleur étrange infatigable
qui peuple mes nuit, peuplent mes jours, être étrange, on s'y perd
et l'on s'y retrouve en miroir déformer par le chaud, on s'étire comme une ombre
immense et perplexe d'exister et de pouvoir dire je
on s'étire se déchire, miroir briser pour mille ans d'insomnie
où le pois des année reposent sur mon dos comme autant de siècle de guerre et de haine
et si l'errance est ma contrée la peine est mon royaume le temps d'un sourire
tout s'oublis et se perd dans les limbes d'un passé excluant le présent
je frissonne en songent en l'avenir, je le remplis de rire et de claque sonore
le rêve l'avenir comme un passé recousu, un présent acceptable
mais le temps parlera et je pourrais me taire, arrêter l'insomnie...
rêves trop doux sur mon oreiller dur, je me retourne encore
pour retrouver le calme, on chat est à mes pieds
mes rêve au sommet, mes bras enlace soi la couverture soi un amis de fortune
et le matin fiévreux, j'ai le dos douloureux, les genoux en coton et le regard éteint
d'avoir chercher trop longtemps le pays de morphée
le traître, le tant aimé qui arrive si tard, qui arrive si tard
Morphée, insensible à mes charmes et à mes supplices se retire trop tôt et à des sautes d'humeur qui
maltraite mon repos et use mes désir
pour encré dans ma chair une fatigue de vieillard, une fatigue de toujours et une migraine aussi
migraine intarissable qui souvent née au petit matin pour s'éteindre dans le sommeil creux et sans
rêves
"...tout doucement, sans faire de bruit" vieille rengaine aimé où la douleur latente danse sur la
musique.. lalalalalalalalalades amants désunies...
et si je fredonne c'est pour me donner du courage à l'ouvrage
oh combien !
je traîne et je rame, un mot par ci un mot par là, je l'écrirai 10 fois ma lettres, 10 fois
"un peu moins bien chaque fois..."
et pourtant il le faut bien
suis je seule ? oui mais Ariel veille, passe et repasse, loutre aussi...
je les vois arriver, traîner, répondre parfois puis repartir
comme mes fantômes nocturnes, cela me plaie
dolce viens d'arriver, ma grande dolce, il y a plus de chance qu'elle passe là où je suis mais
peut être pas
j'errance en silence et je me perd en digression
le temps lentement passe, je doit finir, je m'y met à cheval sur se chat au pelage brun
et puis dolce est reparti, lavande est arriver tout change et je demeure
mais pour combien de temps ? une minutes ? une heure ? deux jours ou une vie ?
je m'égare
et je reste inactive sur la plage de sable et de galet
il fait doux se matin, je redoute midi et sa chaleur ardente
je tremble de dépit en songent à l'hivers mourant et crie au désespoir à qui veut bien m'entendre
mais personne n'écoute ma grande mélopée
je me retire donc, bonsoir et aurevoir, je fuis vers autre chose, je fuit vers d'autre monde
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