lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

Rencontre (nouvelle 100 mots imposé)

Sa silhouette se découpais sur le mur trop blanc, ses longs cheveux natté tombait sur ses omoplates légèrement saillant. On le remarquait de loin, il avait la peau légèrement cuivrer des indiens d'Amérique. Il marchait à la lenteur tranquille de ce qui on des jambes longues et endurante. C'est le soleil qui le fît s'arrêter brutalement au niveau de ce mur. Il étendit son long cou, fermant les yeux, goûtant au plaisir de se feu sur sa peau. En un instant Sète, la ville,  était sur pause, le silence l'emplissait, il était là, contre le mur blanc, immobile et paisible, sans plus aucune attente. Doucement le monde refit surface, le bruit repris sa place, la ville redevient ville. Il s'ébrouât, chassant la brume de lumière de dessous ces paupières, ouvris lentement ces yeux un peu trop brillant et fît un tour d'horizon. Au loin, un tractopelle - sur ces lourdes chenilles et pistons - déchirait le calme avec la tranquillité métallique de l'homme en villégiature, éparpillant de la terre fine, poudre brune, sur la chaussé comme le sable sous la chaussure de celui qui revient de plage. De l'autre coté du trottoir, une famille passait, cacophonie de cris et de heurt, la mère essuyait la salive du petit dernier qui dormait malgré l'agitation ambiante. Les voitures était en trop grand nombres, en crissement de pneu au virage serrer.

Il ne vît pas venir la jeune femme de sa démarche féline et un peu frivole dans le tissu léger de sa jupe plissé. Elle s'arrêtât à sa hauteur, le dévisageant sans honte. Aussi droit et silencieux qu'un arbre il ne sursautât pas, et laissât la jolie l'observer, aucune expression n'étant visible sur son visage serein. Elle avait une peau magnifique, blancheur de porcelaine, qui accrochait l'oeil. Il ne regardait que ses yeux, que ses regards, que se qu'elle ne contrôlais pas complètement. La lune doucement avait pointer son nez, si loin de ces deux là, qu'ils ne la remarquèrent pas. Le temps était en suspends, entre leur deux corps immobiles, cristaux de glace attendant le dégel, l'éclair qui les feraient frissonner. Sans se rendre compte de la gravité de son geste elle posât sa main sur son épaule espérant abolir cette distance si officiel, si ordinaire entre deux inconnus. Elle pensait combler tout se vide entre eux, elle avait insister sans aucune anticipation, juste ce geste, si simple, sans fioritures. Elle attendait, sans ruse, un signe, qu'il l'invite à boire un café, qu'il parle, qu'il réagise, qu'il soit. Le contact sur son épaule ne le surpris pas. Il laissât monter en elle l'angoisse par degré, par palier, sans même le savoir, une douche passant du froid au glacer. Il avait la stature d'un roi à qui tout serrai dut, elle, elle ne voulais qu'une chose, faire sa connaissance sans savoir pourquoi. Il la laissât s'enlisé encore puis avec la puissance étrange d'un désespérer se mis à courir non sans l'agripper pas la manche. Surprise d'un tel geste, elle faillit se tordre la cheville, du se ressaisir, tel une quille frôler par la balle qui hésite avant de retrouver sa stabilité. Ils couraient, elle devait puiser dans ces ressource pour ne pas alleter alors que lui ne faisait aucun effort, lancer dans son élan de pas allonger, il déroulais sans se soucier d'elle. Une belle envolée de couleur et de tissus, traversant des rues sans regardée, cavalant sans cesse, express du malheur, il l'entraînait et elle était dacors.

Dans un jardin nommé jungle pour sa composition à l'anglaise et son petit bois vert, sis en lisère de la ville, il s'arrêtât brutalement. Elle chutât sur le plancher des vaches, laissant tomber son sac en imitation crocodile. Il s'assied prés d'elle, en silence, défit son sac à dos, en sortie un livre. "La chancissure languissante", le livre qui aurait dut être couvert de gloire et avoir le prix Nobel à la place du dernier, celons lui. Doucement il feuilletât l'ouvrage, lissant du regard quelque mots, puis d'une voix douce et calme, grave et sur, il lit. Elle avait voulut savoir qui il était mais n 'avait pus lui soutirer que cette lecture, toutefois, elle restât attentive dans la nuit qui avançait vers le matin, l'aube déjà, au loin un coq...
Il lisait un passage du roman, un passage sur l'apostrophe, sur le vocabulaire choisi pour, il faisait de se texte une litanie sonore et reposante, un cours magistrale sans remise en question possible. Elle tendait l'oreille sans y percevoir le message, sans comprendre qu'elle s'était perdu, et que l'autochtone qui passait avec son foin, ne pouvait plus rien pour elle...

"l'appel est une violation de l'autre, le toucher un crime, il ne faut pas déranger la bête qui dors, elle sais mordre à sang, à mort, ne dite pas 'foutaise' à mes dires, un lion que l'on dérange est toujours près à se tortiller, à bondir ! et si le lion est un homme, un haro de la pire espèce, il vous ferra frire et vous mangera en petite portion assaisonner d'oignon et d'ail, de rire et de haine."

dans leur station assise, l'un en face de l'autre, elle se sentais bien, sans comprendre pourquoi elle rêvait de doux violons, quand il appelais les trombones à coulisses grinçant en guises d'instrument dans l'air doux et silencieux. A tire-d'aile son esprits c'était évaporer alentour, ne s'attardant pas sur la caravane, ni sur le ton du lecteur qui se  durcissait à la voir si peu attentive.

"le trauma qui résulte  d'une agression trop franche peu, en certain cas, rendre bestial la réaction, soit par la fuite, soit par la colère... L'un comme l'autre pouvant se retourner contre la personne en demande..."

Il fît une pause, elle en fut surprise et l'interrogeât du regard, il était comme en pane, incapable de lire une lettre de plus. Elle se décidât à rompre l'oppression silencieuse, et d'une voix prisé et fausse, mondaine presque et à l'ancienne, elle lui demandât son nom. Il se redressât tel une sentinelle, droit et majestueux, la regardant dans les yeux sans arrogance, attrister. Sortie lentement de sa poche neuf petites granules brune sur lequel des hiéroglyphes étaient dessiner. Lentement, les avalât. Elle observait. D'un geste vif il se relevât, la forçant à se mettre debout, immobile comme au début, lui fît posé sa main sur son épaule. Il attendit, elle frissonnait, il partis en courant, sans l'attraper par la manche.

Trente-deux heure après, elle se rendit compte que du sang sur sa robe avait coaguler. Elle n'était plus enceinte.



12/01/2008
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