lulli\'s dreams

alors voilà, hier, dans la zizanie familial, ma mère et moi avons réussi à s'extraire, à sortir au grand jour -enfin non à sortir à la nuit tombé. Invitation en poche, taxis à l'appuis pour 'avoir le temps', direction Jardin des Plantes coté Grande Galerie de l'Évolution... L'expo 'Parade' ! Un petit bonheur d'une bonne heure, des informations toute fois marante : il y avait la danse de l'autruche, les chants d'oiseaux, les fluorescences aquatique, les phéromones d'abeilles, le rituel des lézards et autre bizarrerie (un oiseau mettant du plastique bleue pour d'écorer le nid et accueillir la femelle par exemple).

La seconde salle parle des prédateurs :et oui à force de vouloir se faire remarquer on se fait manger  bête hein ? Soi parce que le prédateur reconnais le signal de sa proie soi parce qu'il limite...

Suis alors une salle sur l'Homme, un cours films au ralenti -très beau- sur les gestes de drague tout petit, les regards, entrecouper par quelques animaux et qui se finis sur un accouplement d'escargot absolument glamours.

En fin, le résultat de tout ceci : des bébé animaux empailler (sublime ! des panthère, des renard, des ours, des pingouins...).

Les animaux empailler, j'en vois pâlir d'horreur derrière leur bel écran plat dernière génération ! Et oui et des bébés de surcroît ! Horreur et damnation ! Et bien non. Les animaux premièrement ne sont plus empailler il sont naturaliser (la structure est en polystyrène : moins de risque de parasite entre autre).

Avant mon stage de troisième au Muséum je ne supportais pas l'idée de ces animaux mort 'comme des vivant'. Puis j'ai visité le service de taxidermie... Et depuis j'aime ces merveille de difficultés, ces poèmes de chercheurs. C'est un travail si beau, si minutieux, les Hommes qui le pratique on tune tel passion que sa m'a ouvert d'autre pensée plus gaie à propos de ces bestioles, insecte formoler, et espèce naturaliser.

J'ai vu dans -leur dire- le respect de l'animal bien au delà de se nous pensons éprouver : il le font devenir une oeuvre d'art et de nos jours c'est après la mort de l'animal qu'on le fait (je pense à Siam l'éléphant du zoo de Vincennes par exemple)

J'ai eu droit de voir 'les salles interdites' les sous sol du Muséum, là où s'entasse des centaines de bestiole de toute espèce empailler, naturaliser, formoler. Imaginez vous : le plafond à 5-6 m au dessus du sol, des 'placard' coulissant et dedans des serres, des biches, des sanglier, des renards...sous verre : un dodo, là on se rend compte de se qu'est la taxidermie ; on n'en verra plus jamais de dodo mais celui ci est 'debout'!