lulli\'s dreams

de la vie on attend tout, on se lève plein d'espoir en cette journée nouvelle, on oublis mais voilà c'est le pied gauche qui frôle le sol en premier... On s'en rend pas compte, de toute façon, il fallais bien se lever. On se retrouve à marcher peu assurer sur nos jambes endoloris par une mauvaise posture, les hanche douloureuse, le dos en morceau on se déploie, on déflétrie nos pétales de coquelicot, on s'étire...

Une fois bien lever, assurer sur ses pattes, la marche est plus facile mais le coton qui nous entoure arrondi les angles qu'ils vaut mieux évité... on marche plus lentement, on se fait à manger, on grignote une biscotte ou du pain beurrer ou tout autre choses. La faim se calme, le coton se dissipe un peu à l'ouverture des volets bruyants.

On saute dans la douche, la peur d'être en retard, on se lave de son brouillard personnel, on rince le coton figé dans nos yeux... humide on se sèche rapidement dans nos serviettes bleu délaver par les nombreuse lessive. on se frictionne s'il fait froid, on ne se sèche pas trop s'il fait chaud.

et puis bon, il faut choisir, jeans ou tailleur, jupe ou pantacour... Devant la glace hésité, ou prendre le dessus des piles, cela est plus mon genre. On à choisi la tenu, faut il des fioriture ? Aujourd'hui, jour de rien, on se maquille les yeux, on s'enturbanner les cheveux, on se fait belle... Mais demain on ne ferra sans doute pas ses effort tant l'on serra en retard.

le temps passe, on s'impatiente, on cavale d'une pièce à l'autre en espérant trouver se qui nous manque. Et puis il est l'heure, une bise d'aurevoir-à-se-soir et nous voici dans l'escalier. Tourbillon de tissu et de claquement de chaussure.

Dehors, enfin, la première inspiration du matin... Il fait bon mais il faut courir pour ne pas rater le bus, le métro, le temps presse.