le retard
Ce jour là, j'était en retard
sa devais être un lundi
peu être un mardi
j'ai laissé le hasard choisir mes habits
je m'en suis drapé à la va vite
une tartine dans la bouche
et j'ai claqué la porte
je cavalais vers mon boulot
sans regardais en arrière
pleuvait-il faisait-il beau ?
peu m'importais, j'avais un rendez-vous
et mes jambes me portèrent
toujours plus proche
j'entrais essouffler coeur battant
passais en éclair par un miroir
je devais me bien présenter, le mien que je pouvais.
je ne vis rien d'anormal, remis une mèche folle
et j'y allait enfin, maître de moi, sur de mon fait
j'allais le leur vendre leur rêve préfabriqué
oui, aujourd'hui je ferrais une affaire !
mon client est entrée, ma saluer
j'ai vu dans son regard quelque chose d'étrange
je fit comme si de rien, je commençais à vanter mes voyages tout compris
il écoutais d'une oreille, quel impoli me di-je
sa va être plus complexe.
je réattaquais en le regardant droit dans les yeux
ces yeux glissais pourtant de manière étrange
sa ne m'était jamais arriver de ne pas capter l'attention
en désespoir de cause
je susurrais un "êtes vous intéressez par nos services ?"
peu convaincu
mais le lougre, ravalant sa salive me dis, "bien sur, bien sur, tout se que vous voulez"
je ne comprenais pas, il signa tout les contrat même le plus débiles de tous
il voulu me revoir, reprendre rendez-vous,
quel étrange personnage...
il finit par partir, me regardant par dessus son épaule.
le tour était joué, plus rien ne comptais.
je déposais es dossier sur la table de mon patron
et revient travaillé, j'oubliais presque l'incident
c'est alors que, sur le cou de 11 heure, le patron en personne venais à mon bureau
il voulais me parler des contrats sans doute
mais aucun mot ne sortis de sa bouche
il me regarda de pied en cap, me dévisageât
et maugréât dans sa barbe "votre technique c'est donc sa ?"
je restais perplexe, lui demandais se qui n'allait pas
il ne pris pas quatre chemin
"tu as vu comment t'es fringuer ? sans soustif, sans rien !"
je rougissais, effectivement, je n'en portais pas souvent
se que j'avais omis c'est le caractère moulant de se haut rose
mais mon chef allait plus loin
puisque je l'avais fait une fois, à chaque client mâle je me présenterais comme t'elle
je l'avait chercher, je l'aurais, et si sa me gène sa n'a pas d'importance
je lui ai fait des merveilles aujourd'hui
il repartis dans l'échos de ses talons dans le couloir
je restais un brin interdite,
j'avais une nouvelle mission,
moi, la commercial, il fallait l'assumer
j'ai dus refaire ma garde robe
mais depuis, je vis avec lui, le boss...
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