lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

le prince, lontemps après (blanche neige)

qui ne connais pas ma femme ?
la première fois que je l'es vus elle était sur la margelle d'un puis.
c'était la première jeune fille que je voyais
et sa voix si aigus me perça les tympans
je répondis quand même
il faut être galant m'a t'ont toujours appris
je donnais le change en me rapprochant d'elle
de dos elle était fine
jolie peu être de profil
peau clair, très clair, comme si elle ne voyais pas le jour
sa mère la appeler
elle à fuis rougissante...

et le temps à passé...
et je l'es oublier
lentement, mais je devient jeune prince
et mon père voulu me marié.
j'était au désespoir, aucune ne me plaisait
mon père se fâcha
et me fis proposition honnête
je devais par moi même trouver une dulcinée
et je devais l'amener sur mon cheval blanc !

je partis donc à la recherche de la perle rare.
bien sur, ceux fût laborieux
il me fallu apprendre à me méfier des bois et des forêts
un beau jour de juillet, trois ou quatre mois après mon départ
je me suis égarer, je pensais à un buisson un peu fournis
et je me suis retrouver dans une immense forêt  dense et sans issu me semblait-il.
mon cheval allais bon train quand arrivèrent à mes narines des odeurs de repas...
je sautais de cheval, m'approchais de la bicoque et vis un bien charmant tableau
sept petit bonhomme et une belle jeune fille attablé et riant
les sept nains semblaient au petit soin de la fille si clair
c'est au reflet de la bougies que je l'es reconnu, la fille au puis...
je suis resté dans l'ombre des vas et viens des nains
à qui servirais l'eau, à qui offrirai le pain, à qui frôlerais sa main...
je la regarde, elle n'a pas l'air de comprendre... serrait-elle si puéril ?
j'en riais presque, tout se beau monde s'en était allez se coucher
je restais donc derrière se carreaux sale à tenter d'y voir clair dans la nuit tombante
je remis à demain mes salutations en m'éloignant pour dormir en paix

je dormis jusque tard et m'étirais longtemps avant de me souvenir de la veille
pour l'heure, j'avais faim, je me servis un festin de quelques restes de chasse
ils devait être quatre heures quand des sanglots et des cris me parvinrent
lentement je pris sur moi d'aller voir se que les nains apportais comme nouvelle
ils me toisaient dés mon arrivé, me faisant comprendre que je n'était pas désirer...
je les contraint à ma laissé passé, et là, mes yeux tombére sur un cercueil...
il était d'un beau bois clair, l'intérieur était tapissé de velours grenat
dedans se reposais la fille à la peau plus que blanche dans se sombre apparat
des roses la recouvrais en partis, je la vis belle alors.
ma main effleura sa joue étrange chaleur douce, je me penchais sur elle
les nains me rattrapèrent, que croyaient-'il que j'allais l'embrassé ?
pour qui me prenaient il ? je les repoussaient violemment, leur imposant silence
elle vivait, je le savais, et je l'avais choisi, que les nains le veuillent ou non
elle serait mienne.
je la pris dans mes bras, corps léger de l'oublis, serait-elle un ectoplasme étrange ?
je souris à cette idée, et appelais ma monture qui s'en histoire arriva au galop
les nains s'agrippèrent à mes vêtement, me faisant presque tombé
je les repoussais enfin, mon cheval leur fit peur, j'eus le temps de m'y installer.

la princesse dans mes bras, je laissait reine longue, il connaissait le chemin du retour
l'animal, dans sa joie trébuchât sur une racine...
la princesse hoquetât, crachat un bout de pomme, rougis, et cria
je la regardai revivre, inévitablement, ces cheveux sur mes joues, je frémis un peu
j'arrivais a château triomphant : j'avais se que j'était partis chercher !
les espoirs de mon père serrais apaisé... enfin !

a l'arrivé ce fut la joie, la liesse, la fête pendant des nuits et des nuits
à la fin desquelles on prononçât le mariage...
si j'avais su que ma belle...

il fallut être roi, ils fallut qu'elle soi reine, mon père mourus bientôt
j'était heureux, ma femme était enceinte et puis elle enfanta
deux filles, la joie, le rire, les larmes...
et le temps passe, passe, passe, les cries recommence
d'autre enfants, garçons et filles
beaux,   nombreux...
et ma douce et belle devint se qu'elle avait vu de sa mère
de sa belle mère surtout,
petit à petit, elle voulus être la plus belle des plus belles
les plus riches des plus riches
et en devint méchante...
je suis inconsolable, je la couvre de baisé et de bijoux...
rien n'y fait plus, rien ne va plus.

et si se soir, je vous écris,
messieurs dame sa n'est pas par plaisir, non, ni par envie...
mais je vous conjure de m'aider, de sauver mes enfants des mains de leur mère
de m'aider, oui, à ce qu'elle redevienne la fille si blanche sur la margelle d'un puis...





05/02/2007
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