larme
Je la connais bien celle-ci.
Au début je ne la veut pas
Je résiste !
Mais elle se fait douce
Elle glisse de la commissure de mes yeux que je tente de laissé clos
Elle aime alors se pendre à mes cils courbe
Puis lentement rouler, débouler sur mes joues rouge
La tristesse se pare de sel
Petit à petit d'autre viennent à naître
petit à petit le goût envahi ma bouche
Enfin je peut m'endormir tranquille...
Au petit matin il ne reste qu'un souvenir de marée basse
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