la marée la emporté
Immense il se dresse dans la campagne
Les dames et les courtisant y pavanent
Le bruit des sabots retenti dans la cours pavé
Un messager ? Un destrier ? Un ami ?
La femme tristement à son balcon le regarde
"Qui t'amène ? La bonté ou la mort ?
Si tu est là pour mon malheur je te ferai tué"
Son glaçant d'une voie usé par les attentes
Le silence recouvris l'air froid
Une larme sur sa joue roula et tomba
L'attente pris fin dans le deuil
Le messager pus repartir... emmenant sa nouvelle
le château de sable s'effondra,
la marée de larme le recouvris
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