lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

l'amour cette anxiogéne

l'amour cette anxiogène !

il me disais, blanc c'est blanc, noir c'est noir, un c'est un, zéro-zéro, tu est toi je suis moi. Il évoluais dans un monde binaire sans peu être, sans pas sur que, sans solitude, sans dédale, sans écart. Son Bonjour qui résonnais, faisait échos à mes aurevoir, je me souvient il ne riait pas de mes soupire, il ne riait pas de mes sourires, il ne savait plus rire, il ne savais plus pleurer non plus. Mon bouchon de champagne dansais toujours sur le bord du goulot prés à sauter au mur, à éclater, à me faire danser ou casser la vaisselles... mais lui, il ne me comprenais pas, me demandais du calme, du sérieux en reprenant un de ces cachet pour le mal de crâne... un de ces calvaire et de se fait un des mien , lorsqu'il enlevais la capsule de sa boite à médicament dans un claquement sonores, j'avais tout intérêt à me ranger bien droite en jolie poupée de porcelaine, à repeindre la tapisserie, à me cacher sous le lit, en un mot, à ne pas exister pour ne pas l'exiter et l'énerver ! Il était la belle caricature de sa jeunesse, beau, puissant, fier et autoritaire sous ces allures de douceurs. Je notais tout dans un carnet à l'époque, j'avais un peu d'espoir, l'amour sa devait calmer mes angoisse, sa le devais que diable ! C'était son rôle et son devoir non ? Une carte avec un trèfles à quatre feuilles d'où coulais du sang y était glisser, c'était sa déclaration, oui, je n'y avais point vu de signe... ma cartouche d'encre était presque vide et sur la fin de ce vieux cahier, le mot "chiffon" reste seul sans suite Je suis se chiffon sans sens que l'on tente au matin de réveiler au clairon de l'amour-pasion l'amour-fusion ! ah sa... que j'ai pus y croire à ses yeux douceur coton... "ravis de faire votre connaissance" de sa voix grave un peu terme comme hésitant à allez vers plus aiguë, considérant l'air comme une possible mort subite...

Je l'est aimé le jour où, à la fenêtre, les main sur la corniche qui surplombe la rue, il m'a dit sans me regarder de sa voix sans souffle : "je t'aimerai autant que le vide me happe". C'est par cette phrases sans sens qu'il m'a montrer que sa vie n'était que décombres et que je n'était qu'un reflet de sa folie, c'est là que je me suis dis, comme sa, sans le savoir, que oui, c'était lui qui serrait ma bouée de secours et mon amant-enfant. j'ai passé ma main, pour le défroissé, sur mon vieux chemisier un peu décrépie que ma mère m'avait offert et qui - me dit-il par la suite, me donnais un air défroqué des plus drôle. En silence j'ai rejoint son vide et j'ai tenté d'élucider ses peur, d'en comprendre le contour, d'en frôler la réalité... Mais je n'y ai découverts que de pâle figurines d'un passé à jamais éteins qui se reflétais comme autant de monstre et qui arborais de multiples fleurs dans les cheveux et dans les mains... J'eus un moment de recul devant son gouffre mais nous avions celer un pacte, et pour adoucir mes crainte je sortais au jardin, près du fraisier je retrouvais un peu de mon passé. Il ne le supportais que peu, furibond il venais me cueillir à la branche fragile qui me soutenais encore, entre deux fruits pourrissant d'une généalogie perdu. sa voix dans mon dos qui se courbais, se "petite gueuse" qui me donnais l'envie de le gifler, de le laisser pour mort, là, enfin horizontale et non plus avec ces vingt centimètres de plus que moi, à m'insulter. Il me fallait joué sur la corde de l'improvisation, soit m'évanouir, soit pleurer, soit crier, quoi qu'il en soit, je joué et le premier jeton se devais d'être le bon... si par malheur je ne rompais pas sa corde sensible, il était capable de me frapper à cou de liste d'horreur que je lui aurait infliger depuis le premier regard, il était capable de me faire regretter de ne pas l'avoir précipiter dans le vide au lieu de le suivre... Et une fois la locomotive lancé, le train suivais sans fin traversants tout les versants de ma vie, bousculant tout les actes que j'avais pus commettre, me harcelant et me laissant pantelante, essouffler, sans maturité me hantait-il une fois calmer, pis qu'un nourrisson, écraser par le poing même de ces mots. Il montais tout seul en mayonnaise et me forçais à le manger sans pain, sans rien, quitte à en vomir, quitte à le haïr, il me voulais à sa merci, et il m'avait, il m'avait depuis bien longtemps déjà.

Notre monde de folie amer, on l'avais construis sans savoir les montagne qui nous séparerais de plus en plus, et sa n'est pas à cou d'ongle que l'on creuse des galeries pour se rejoindre... souvent, j'avais le mot pardon en tête, souvent s'entend toujours. Pardon d'être, pardon d'avoir tant voulut, pardon pour la pendule, pardon pour les fraises pas cueillit a temps, pardon pour... pardon, pardon, Pardon... ma litanie sans fin en boucle dans ma tête résonnais de jour et de nuit, je le regardais à contre jours tirer sur l'une de ces pipe, et je lui murmurais de loin de m'excusez... il avait depuis longtemps perdu le peu de gaiter que je lui avait offert au tout début en faisant l'autruche avec une longue plume et un pompon que je promenais sur son visage si maigre et anguleux qu'il en était un paysage aride et magnifique... oui, en qualité d'homme, il était mon rêve et ma solution, mon but et ma déraison... Nous n'avions pas de recette pour vivre ensemble, nous ne savions pas nous y prendre, à joué, on perd parfois, on a tenter de gagné, en s'égratignant, avec difficulté en prenant du retard sur se que vive veut dire. Notre ruelle sombre dés les première caressent était devenus glauque et puante de sueur et de salives mêler, non salubre et qui ne faisait qu'augmenter le stress de nos désirs. Il me disais qu'à force de vouloir d'écrire notre amour, tout mot sortant de nos bouches tordus serrais superfétatoires et maigre. Que l'amour sa se vivait et sa nous tuerais mais qu'il ne fallait jamais le dénaturer par des mots dont la taille serrait toujours trop restreint, que c'est sous-terre qu'il était voué à finir et qu'il était bien heureux que notre union fut stérile pour ne pas avoir à entraîner dans notre perte des restes de tétines crasseuses. Oui, il me disais que sans lui, je n'était rien et que sans moi il n'était pas même un zeste d'humain.

Oui, il me disais que sans moi, il n'était rien, et que sans lui, je n'aurais pas une once d'humanité.

alors je suis partie.


20/01/2008
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