je suis le saule-tremble
le
soir c'est coucher depuis lontemps, mes parents ne se comprennent pas, le
reveil c'est étein puisque demain est jour férier, je pense qu'écrire est une
maladie, je pense que c'est domage qu'elle ne soit pas transmsible plus que
cela, je crois en la chute.
on
ne peut pas être d'acor avec moi, c'est ce perdre d'avance mes avis sont
mouvants, mes pensées sont translucide et fragile
tu
vois là bas le tremble, ferme les yeux et écoute le vent en faire bruisser les
feuilles, c'est un belle arbre : il tremble comme moi je tremble de peur.
Observe le saule pleureur et sa ramure si noble qui frôle l'eau du lac : il
chute vers l'eau comme moi je me noies en mes larmes et aime m'y baigné les
matins de rosées.
regarde
la rose, pétale de velour : elle est comme moi puisque qu'y si frole si pique
le
liseron s'atache s'acroche s'enroule jusqu'à tuer sont soutient, son apuis, son
socle, c'est une belle parasite, et moi j em'acroche jusqu'à m'épuisé moi même
car je donne plus que je ne reçois souvent, contraireent au liseron en
m'acrochant je me tue
oui et je me meurt à
vouloir, je pleure pour nager mais je me noix à chercher, je tremble qu'on ne
me laisse et je reste seule
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