lulli\'s dreams

Parce que c'est gentil de donner des conseille d'écritures, des méthodes et des exercices, des choses à faire, des truc à ne surtout pas réinventer. Mais une fois que l'on écris... Comment faire pour ne plus écrire ?


Comment comprendre le terme de page blanche quand en un instant on la couvre de signe ? Comment appréhendé le besoin d'écrire si toute la journée on le fait sans effort ? Ne vous inquiété pas, ami scribouilleur né, j'ai la solution a votre grave problème. Mais sans garanti aucune (j'en fait les frais pour vous).


Pour ne pas écrire, il faut supprimer le plus possible (surtout dans les transport en commun et les restaurant qui on des nappes ou des serviettes en papier) le stylo, crayon et même rouge à lèvre ! Cela va sans dire c'est difficile. En partant le matin il faut enlever absolument tout ces instruments qui permette l'écriture d'avoir lieu (de sa veste, de son pantalon, de son sac et de tout autre contenant tel que les bottes ou les gants !).

Le second impératif est de trouver quelque chose à faire à la place de l'écris. Oui, écrire sa prend du temps et sa le fait passer très vite... Alors que faire durant vos voyages ? vos repas ? lire est une première excellente idée qui à l'avantage de distraire, de vous faire passé pour un intellectuelle (CE QUI N'EST PAS UNE INSULTE) mais qui à l'inconvénient majeur de vous donner irrémédiablement envie d'écrire, de recopier des bout, de citer, de...
La sieste est moins profitable mais plus simple pour ne pas avoir envie d'écrire sauf évidement si vous êtes sujet à rêves !


En fait, il faut bien le dire... Il n'y a pas de vrai solution à ce problème ci. C'est certain, on peu supprimer feuille et stylo, livre et contact avec l'ordinateur, à chaque instant on voudra y revenir, on y ferra pas attention que déjà la page serra noir, la marge du livre de mécanique quantique, le bout de peau de votre poignet...


Pour vous sortir d'affaire : manger du chocolat à chaque mot nouveau écrit, une fois dans l'indigestion vous serrai peu être écœurer.





Pour ma part, j'ai tout tenter, mais même enfermer pieds et mains lié, la page blanche ne sais en aucun cas être un cauchemar, une hantise ou quoique se soit d'autre, parce qu'elle à des carreaux, des traits et des ratures, déjà, avant même que j'ai d'idée.