Auvergne (2 poémes)
Tes recoins secrets
semblent fait pour des crimes parfais.
Tu piége, tu nous piége par
tes côtés changeants et ton double visage.
Auvergne comment parviens
tu à allié tant de pâturages verdoyant avec tant
de
roche nues prêtent à se dérober sous nos pas ?
L'été tu sembles si
paisible mais l'hiver…
Tu séduis les poètes et les
inventeurs d'histoires noires.
Dans tes recoins, les cours
d'eau abonde telles des sources de vie éternelle
qui
sème la mort dès que les vents se change en tempête.
Tes belles vaches, ces
Salerses, sont comme toi paisibles de loin et
indomptable,
tant et si bien que l'on se plis à vos deux volontés unis.
On trait la vache prés de
son veau, on se méfit de toi Auvergne.
Tu joue tant de tours
dangereux que la vie migrent vers des paysages plus
calmes
et moins rudes aussi.
Les têtues entravé par leur
bout de terre, par toi en somme, pleurent les
disparus
en attendant une relève compromise par toi-même.
Tu reste incompréhensible,
incomprise aussi belle Auvergne.
Tu aimes mentir, tu te pare
de rayon de soleil et d'années d'attentent pour
nous
attiré mais dès le soleil caché tu te réveilles en nos cauchemars par tous les
rapaces que tu emprisonne entre tes pics et tu ris séduisante et tentante
Auvergne, tu ris.
De nouveau tu t'embellis,
comme un jeux de cache-cache où ton but serait de
nous
perdre.
Je t'aime bien Auvergne,
qui te haï ?
Tu garde en quoi ton passé
volcanique érodé par les glaciers.
Ce qui reste de toi c'est
donc ta roche la plus dur, la moins friable mais la plus
trompeuse.
Depuis toujours l'Homme à
essayé de te dompter tel un lion enragé, tu fis
semblant
de ne pas résister pour prouver ta vrais force, ta vrais nature, pour mordre là
où cela fait le plus mal.
Lorsque l'Homme se fut
enraciné dans ta terre si solide tu t'es dérobé à leurs
pieds
en riant toujours joyeusement?
Tu as fait pencher les
maisons par tes pentes et tu as empêché une réel
avancée
technique agricole.
Les Hommes sont restés
pourtant accrochés à toi comme à leur mère qui
essayerai
de les sevrés.
Ils tentent de puiser dans
tes multiples mamelles pendant que tu gigotes, les
ligote.
Tu fais tout cela sans y
pensé, tu vis par toi-même en procréant et écrasant
la
vie qui pourtant persiste à reprendre racine.
Si nous ne venons t'habiter
c'est que tu nous fait peur Auvergne, on t'admire.
____
La rivière serpente la
vallée
Formé par les anciens
glacié
Ayant creusé dans la roche
D'anciens volcans qu'on ne
sait bien dater
La rivière a creusé la
vallée
Verdoyante et plate ou
pâture
De nombreux animales plus
ou moins familier
Toutes les vaches y
regardent passer les voitures
La rivière gronde dans la
vallée
Lorsque le soleil laisse
place
Au nuage présage redouté
De sinistres et grandioses
orages
La rivière joue et ris dans
la vallée
Lorsque les enfants gaie
nage
Et s'éclabousse sous le
regard aimanter
Des mères bronzant et un
père absorbé dans leur pèche
La rivière inonde la vallée
Lorsque les anciens
barrages de pierre
Ne sont pas entretenues par
les moins âgées
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