lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

Alioze contre Azerarte

Imaginer

La nuit

La lune joue à cache-cache avec les nuages lourd et sombre

Il fait doux

On a soupé tard

Tout le monde s'est couché repu

La ville des hommes dort

Quelque bougis reste à brûler

Oublie ou bien insomnie ?

Les chouettes hululent

 

Ailleurs, au loin vers le Nord

On veille

Une sentinelle surplombe l'apique rocheux

Noir sur noir

Invisible à l'œil humain

Sans bruit, immobile

Regard figé vers le Sud

On peut lui faire confiance

Il ne se trahira pas sa présence par un faux mouvement

Il est invisible

 

En bas

C'est la vallée fertile, verdoyante

Où l'on trouve tout les fuit possible et imaginable,

Tous les bonheurs

Tous les péchés

Et tous les désirs de pouvoirs…

 

Les Aliose des hauteurs tremble à l'idée

Qu'un jours

Les Azearte de la vallée ne les envahissent

Alors ils veillent

 

Les Aliose ont voté pour choisir un veilleur de nuit

A vie

Ils ont voté et ont choisi

L'Ange Noir

Pour sa discrétion et son professionnalisme

Pour sa beauté et son pouvoir de séduction

Pour sa vision sur développer et la force de ses bras

 

L'Ange Noir trône donc

Et regarde la vallée à longueur de nuit, longueur de vie

 

La nuit tant attendu finis par arriver…

D'un bond preste et agile

L'Ange Noir s'envola tel un corbeau vers les siens

Apportant la nouvelle

Les Azeart son en marche

Préparons nous à l'asseau

Moment d'égarement

Et de prise de décision

 

L'Ange Noir repart,

Son rôle ne s'arrête pas là

Il part, éclaireur aux bons yeux

Il part à tire d'aile voir l'allure des ennemies

Il vole presque jusqu'à eux

Il les voit, fière et droit

Désireux de gagner

La partie serra dur.

 

Sa troupe est enfin prête

Hommes et femmes sont armés

Les ailes déployer pour ceux qui en possèdent

Les autres à cheval, à licornes ou encore à pied

La batail approche la lune sort de derrière un nuage

 

 

Les deux camps se fond face

Beaux et fièrent

Arnaché d'amulette

Et armée jusqu'aux dents

Le ciel tremble

L'avantage est aux Aliose qui connaissent les lieux

Mais les Azearte on la force du nombre

Longuement le temps passe

Sans coup et sans bruit

Quand soudain

Un ange blanc décent en tourbillonnant

Et s'abat sur l'Ange Noir

La batail commence

Elle est sanguinolente

Nous n'en parlerons pas

Les pertes sont énormes

 

Mais regardons plutôt

Et l'Ange Noir et l'Ange Blanc

Ils se battent à coup de poins,

A coup de dent

A coup d'épaule

L'Ange Noir tape et tape et tape

L'Ange Blanc, plus fin et plus rapide

S'échappe et mors ici un bras ici un genoux…

Ils tombent de fatigue au lever du soleil

Sans vainqueur sans vaincu

 

Le soleil se lève

Tableau d'apocalypse

Tant de morts et de haine

Les deux anges se regardent

Ils se voient enfin

L'Ange Noir n'y croit pas

En face de lui sa n'est pas un guerrier non sa n'est pas un guerrier

L'Ange Blanc est une femme…

 

Ils se regardent encore

Et se noie dans les yeux de l'autre

Regard bleu dans regard noir

Ils sont beau tous les deux

En sang, en sueur, en larmes

Ils se relèvent

Seuls survivants d'une bataille trop dur

Ils sont maitre du monde

Dominant falaise et vallée

Tout leur est dus

Tout est à eux

Mais se qu'ils on gagné

N'ets ni le pouvoir ni l'argent

Une amitier immense

Une amitier à vie

Leur fond refert le monde

 

Et si parfois humain,

Un trai blanc aux coté d'un trai noir

Passent aux dessus de vous…

 

Sa n'est que l'Ange Noir main dans la main avec l'Ange Blanc

Qui passe…


05/02/2007
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 5 autres membres