lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

sans titre

se reprendre
j'ai atraper mes cotes à pleine main, remis en place mes homoplate, repris pied sur fond de cailloux-galet de souvenir éparse, j'ai même tenue à replacer mes rotule, à relever tout mes cheveux sur mon crane pour remetre droite ma nuque toute tordu. Se reprendre, mes mains on façoner mon corps le rendant reconaisable, là, je redevient humaine, d'informe à en forme, peu de lettre, peu de chose, amorphe, métamorphe... je ne suis que les mots qui se perde. Se reprendre, respirer, résonablement être, bien, oui. Pourquoi irais-je mal ?

savoir par où je m'égarre
c'est suivre unchemin sans balise dans la nuit noir et  présipise, tiens, au loin on distingue juste un panaux néon anonçant que le temps ne passe plus... Par là ? non par ici... sous la pierre lever, une tombe sans doute d'un autre temps, "l'important c'est de méler les âges" dirait l'instituteur vieux de trop de guerre.

torticolie
la mélancolie se loge toujours dans la nuque, nous empéchant de se tourner, obligant la tête à rester dans un axe figer d'avec le buste. Tordre le cou au idée reçu, se battre s'ébattre ? l'eau chaude fait du bien, le torticolie passe sur fond de non-massage

parcimonie
le gâteau au chocolat avait était saupoudrer de perle argenté en sucre, trop peu celons certain, assez pour rouler sous les dents de chaqu'un.

accord
le son en fut parfait quand son pied à glisser sur la planche de bois tremper humide des embrun, chut, en harmonye complète avec le paysage, oui, c'était sa, la chute du parapet en pente douce, sans bruit, dans l'onde, juste l'échos de l'eau qui se referme tel un tombeau, et puis le silence. L'accord fut parfait, sans témoin, la scène n'aurait pas eu d'intérêt.


12/01/2008
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