lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

"portrais d'anna" et "le tramway"

50 mots imposé identique dans ses deux textes à savoir :
Absolu - abyssal - agriculteur- anaphore - aspirateur - bestial - capharnaüm - chat - chine - corps - couvre - crucifié - délétère - désert - étincelante - extincteur - fiction - galaxie - globule blanc -grâce - hypothétique - illusion - impatience - improbable - iris - jardin - jette - liaison - manège - médiéval - nature - nez aquilin - ongles - noirs - pain - pâmoison -papier - pastel -pédibus - prêter - photophores - pyjama - python - sommelier - tarentule - théâtre - tintinnabuler - tramway - vénérable - violette

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"Je t'absous dans l'absolu abyssal de nos vie d'agriculteur en-jardineur de terre arable"

Pas d'anaphore, Anna parle trop fort pour couvrir le bruit de l'aspirateur râleur. Il y a du bestial en elle, rien qu'à voir son capharnaüm, sa vous rendrai un cafard mélancolique, pas son chat de chine, lui, il supporte tout tant qu'on lui donne sa pâté -de luxe- à heure fixe. Il réclame à corps et à cri sur le coups de huit heure qu'on le couve, couvre de câlin et de bouffe. Anna ne crois en rien, le crucifié au dessus de sa porte est là pour faire bien, il est plus délétère qu'autre chose, avec un peu de bol, c'est la varice qu'il nous refilera, mieux vaut filer avant. D'ailleurs, avant qu'elle ne s'installe -instable- ici, c'était un désert, du jaune sur papier peint, horrible sa va s'en dire, mais quand la clinquante et étincelante est arriver, sa nous a fait un choc. C'était y a longtemps, pas tant que sa, mais en apiculteur avisé je me suis saisi d'un extincteur pour éteindre tout se faux feu de forêt en strass et plume. Anna est une fiction, enfin, elle devrai l'être sa serrait plus reposant, surtout si elle vivait dans une autre galaxie... Mais non, elle est là, immobile, inéluctablement et avec tout ses globule blanc fonctionnel, c'est pas son christ pourri qui la rendra malade, tant pis pour nous, Dieu ne nous ferra pas grâce. De façon hypothétique on a posé une hypothèque sur sa bicoque en bordel, sa nous aurais rien rapporte, on a jeter l'hypothèse dans la marre des illusions perdu, c'était certain, elle ne valais pas un clou Anna, son chat et ses impatience jaune, de toute façon il est improbable que quelqu'un eux déboursé un centime pour son merdiez, non, vraiment, on l'a sur le dos, et pour longtemps encore, avec ces iris dans les cheveux et son jardin en champ de bataille irisé par le soleil couchant. Sa en jette mais sa fouette l'humidité rance à heure du thé. Depuis tout se temps, on lui connais pas de liaison, ni avec un homme, ni avec un chien, rien de rien, tout les jours le manège quotidien, une horloge bien graissé à l'huile. Enfin, qui aurait voulus affronter son entre au allure médiévale de crasse et de pourriture à la nature si sauvage et inaccueillant ? Pourtant, l'Anna elle est jolie avec son nez aquilin de sorcière datant d'après la Grimm compagnie, ses ongles cassé et ses dents noir et inégale à force de manger du pain pourrit. Oui, elle vous ferrait tomber en pâmoison sur son paillasson, sans mal. Quand on la connais un peu, de vu, de loin, on le sais, elle raffole des vieux bout de papier plus ou moins propre, elle utilise des craie pastel, parce qu'elle pense que passer un coup de tel sa vaut moins le cou que ces croûtes. Comme elle peu pas en vivre, elle va partout "piedibus", façon de dire qu'elle à pas le fric pour y allez en bus, alors elle use ces chaussures, elle est précieuse et pas prête à prêter un kopeck à qui que se soit, non elle garde tout -le peu qu'elle à- pour elle. La nuit tomber, Anna, elle allume des photophores un peu partout dans son pyjama délaver, et lover dans un bocal il y a son python qui siffle, elle dit qu'il ronronne -mais le sommelier à peine franchis la porte à reculer face aux serpent, on plaisante pas avec le venin et toute ses tarentules en liberté dans la pièce draper de tulle et de tissus déchirer. De ma fenêtre je suis comme au théâtre, le théâtre de sa vie bien régler jusque dans sa folie, jolie, qui la fait tintinnabuler en bulle de non sens, mieux qu'un pinson en parade. C'est pas le tramway du désir, il serait mal nommé, mais malgré tout Anna, en secret je l'appelle la vénérable et je lui déposes des myriades de craie pastel violette pour ces tableau exécrable. Je lui doit bien sa, à la passeuse de temps. De ma fenêtre, Anna vit dans son taudis et je la regarde.

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Le tramway n'était pas désirable, il puait, il ruminait et il grondait à chaque virage, on eu dit un être autonome si les rails ne le guidait pas au travers de la ville. Ces couleurs furent belle mais avaient virer au pastel-délaver-sâle-engrafité, rien à faire, la crasse envahis chaque wagon, chaque banquette et jusque chaque parcelle de parois métallique. L'espace était confiné et délétère emplis de gens puants de leur journée de travail, théâtre gerbant d'un manège inlassable. Chaque corps indépendamment ignoble se collais aux autres par obligation plus que par désir, bien qu'il y eu des gens à l'aspect bestial pour humer leur proie de façon peu ragoûtante, reconnaissable à leur née aquilin et attentif dans l'ai vicié du l'espace confiné. Tout le monde devait prendre ce tram, il reliais le centre à la périphéries,  il en as vu passé des gens, des gueules et des accoutrements. Les plus ancien se souvienne du jour où, un acteur soi disant vénérable - un espace c'était créé pour ne pas le gênez se qui était réserver à l'élite - était monter dans son habit médiéval de scène qu'il portais avec un naturel désarment. C'est le sommelier qui racontais toujours comment sa fille s'était retrouver en pyjama dans ce transport à force d'étourderie. Personne ne l'aimait ce tram, il était immonde et râlant, personne ne tintinnabuler durant le trajet, qui eu eu la tête à ça ? Dans toute la galaxie il ne devait pas y avoir pire transport journalier que celui ci, il devait être sortie d'une fiction pour être aussi parfaitement insupportable. Les mains aux ongles noirs de saleté s'accrochaient tant bien que mal aux bar métallique et autre bout de caoutchouc pendant de la tôle du plafond, qui fuyait à la moindre averse. Dans l'absolu il fallait éviter de marcher sur le pied de ses voisins, fort rancunier, qui risquait de faire un esclandre énorme vous menaçant de vous faire tomber de la falaise - chute abyssal et sans retour possible. L'impatience était toujours présente comme s'il était capable d'aller plus vite que ces roues déformer par le pois ne le lui permettait. Le tram était la scène de nombreuses rencontre improbable qui pouvais même aboutir à des liaisons plus où moins amical et intéresser. Une bonne soeur son christ crucifié aux cou avait discuter avec un agriculteur rougeaud à propos d'animaux diverse et varié, à croire que les chats, tarentule, python et autre mouton les avait rapprocher mais la porte claquât, le tram enfermais et séparait au grès de ces envies, lui sur le quais, elle dans le wagon... Pour s'en sortir il fallait rêver de désert et de solitude tant on était comprimer et tant on étouffait. C'était un vraie capharnaüm où l'aspirateur n'avait pas encore était inventer, la poussière grasse emplissait les bronches, si le feu avait pris en raison de la trop forte chaleur, il était à craindre que l'extincteur grince, ronfle et ne s'amorce jamais, on n'y pensait pas préférant rester dans l'illusion d'une sécurité - on meurt bien plus d'accident de voiture que de tram. Les gens qui passaient par ce tramway régulièrement on -de façon hypothétique mais logique - des globule blanc en fer, qui résistaient à l'infamie, ils ont dut mourir vieux, voir ne pas être encore mort. Un jour, un fou sans aucun doute, avait pulvérisé de l'eau de violette importer de chine, sa a empester par dessus les sueurs et flatulence pendant une semaine... Sur les murs il y avait des graffitis en peinture étincelante ou pouvait deviner des mots qui s'entremêlait sans sens :  "jette le pain par la fenêtre" entrelacer d'une espèce de photophore peu reconnaissable et qui couvrait une partie du dernier mot, il y avait aussi un "anaphore" bancal, qui n'a jamais était compris, ni même appréhender , quoiqu'il en soit, sa n'aurais fait tomber personne en pâmoison, l'indifférence était de mise, surtout dans cette populace. Et puis on avaient mieux à faire, il fallait prêter attention à ses pieds, si on tenais un minimum à eux. Dans ce bout de ferraille sur rails, il manquais la grâce de la nature malgré un pauvre iris qui se découpais sur la porte vitrée, ancienne pub pour un shampooing parait-il et qui disparaissait sous le gras des mains qui s'y posaient à longueur d'année. Puis un jour, la ville à décider de classez le tramway en "insalubre", obligation de le supprimer, danger public, il on même construit des jardin autours des rails. Plus de rencontre et de crasse mais surtout, surtout : tout le monde en pédibus


12/01/2008
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