lulli\'s dreams

et bien soit, Moi et Paris t'attendons à bras ouvert, faubourg au lointain, loin de cela, sur des rives plus calme où la populace s'amuse ! Oui paris, la petite, la remplis d'odeur et de saveur, je t'emmènerai dans les jardins pour tant compter (non pas fleurette) mais l'histoire ! Je te montrerai mes repères (non pas d'amour) mais de solitude ! je t'emmènerais voir mes comparses si démunis ceux que l'on nome "étudiant" et qui sont perdu dans le campus... Je  te montrerais le soleil dormant dans la salle des fêtes, tiens du théâtre ! et pourquoi pas, pourquoi pas, des pavé avec en dessous le sable qui attend la prochaine révolution. Les passages clouter et leur clou en métal argenter... Je te ferais arpenter les catacombes si la visite t'amuse ! Pars et ces rats... mêle-toi à nous... tu n'en sortira pas indemne, Paris c'est cette ville que j'épouserai quand j'aurais l'âge de me mariée, c'est cette ville que j'embrasserai quand j'aurais l'âge de languir, c'est pour Paris que je me tuerai quand j'aurais l'âge des regrets... Viens avec moi, les yeux mis clos, je te chanterais ces rengaines qui s'oublis sur le flots des touriste, prête l'oreille, là, le couple de pigeons ramier qui se font la cour tout les soir. Regarde donc ce môme à hauteur de banc qui titube dans sa couche... Là bas, c'est un autre monde, celui des mama bébé dans le dos et boubou coloré, tiens tu connais la banlieue ? Paris, c'est aussi sa banlieue, ces tours et ces manége, tout tourne, tout tourne... Paris reste, je passerais, comme tous, comme toutes... Paris reste, je m'égare, c'est que j'en suis éprise ! oh ! combien !