lulli\'s dreams

Le livre qui serais miens, le livre qui serrais moi.

Je l'imagine étrange.

De ses beau livre que les années habille d'un voile de tendresse, de ses vieux livre que le temps à épargné de l'humiditer et de la lumiére et dont l'odeur est tel que l'on en rêve encore. Volumineux puisque empli de silence et de pauses, de vide et d'image, de reflet et d'érance, de fautes d'hortographe et de poéme sans rime.

Il serait lourd de passé et léger d'avenir, chaque pages que l'on tourne ferrai le bruit d'un chant, celui du vent dans les saule pleureur.

Certaine page, blanche, sont le souvenir de l'oublis. Le souvenir de mes oublis nombreux, exaspérant désespérant, néant atendrisant a en pleurer de rage en haussement d'épaule.

Je le vois lourd et beau emplis de dessin fou, de monstre gentile t de princesses ideuse, de méchant humain et de démon angélique, plein de contradiction et de difficulter. Phrasse longue à coté de phrases courte, perte de vitesse ou TGV.

Il serras en couleur, dessins pour enfant, beau dessin d'adulte. Il sera de noir et de blanc dessin d'enfant, dessin pour des adultes.

il serra de sang, celui qui coule encore, chaud et doux au bon gout de fer et de chair.

Ce livre contiendrai des pas de dances mélant les styles et les lieux, les partenaire et les spectacle, une piste tourne sans cése.

Une autre partie (à la fin, vers la fin des non fin, au confin) est le théatre. Le théatre de la vie, les théatre au théatre, le théatre de rue, le théatre de livre.

elle : je ne comprend aps pourquoi elle nous cite là ?

lui : n'y prettent pas attention elle essaille de nous inventer.

elle : Lulli ? elles essaille de nous créé ? manque de someil...

lui : laisse faire, la piéce à commencer

elle : t'a étein ton portable ?

la salle : chut !

Tiens il y aura aussi des pages de repos au décors changant. Des page ou le regard n'acroche acun acros, ausune tache de couleur violente, rien qui ne puise choquer.

je pense encore bien sur a ses page noir de mots écris en tout petit sérré sérrer pire que des sardines, ces mots coupant coupé qui tranche et qui font mal. Les maux à fleurs de peauds, mes cicatrices ancienne et celle à venir.

Mots à mots se livre sera moi, ce livre serra tient

Mots pour mots si veut bien le lire il faudra t'acrocher, la chute en ai brutal

Mots contre mots il ne peut exister, pour le lire il faut entrer là d'où persone ne ressor...entrer aucentre de mon être qu'on nome l'inconciens, essence et autre spectre.

Mots par mots le mots fin n'existe pas encore.