lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

journal non daté

un journal non daté, non chiffrer pas même imprimer sur un mauvais papier avec une encre qui tache les doigts, un journal ? non, sa ne devrai en aucun cas porter se nom là, un journal c'est pour les grands, ceux qui ont des plumes à rémurations. Non, sa n'est pas un journal qui finira au feu de bois de la maison de Belle-Isle-en-Mer. Non, vraiment, n'insistez pas, cela n'est même pas un journal intime, il est à la vu de tous, il n'est surtout pas un journal de bord... je n'est pas pour l'heure le coeur au bord des lèvres, la main dans l'eau non plus.
je ne suis pas fou, la folie est une maladie. Je ne suis pas malade, non, sa, c'est certain, d'ailleurs si l'était fou, je ne serrait pas dans mon studio blanc avec vu sur la mort. Je suis même pas de longue durée, je n'est pas assez vécu pour me dire vieille, quoique, si je mourais demain, j'aurais était vieillarde aujourd'hui !
oui, se titre devrai être changer mais à quoi bon ?

à quoi bon se fatigué à chercher un titre potable alors que de toute façon j'arriverais à vous dire qu'il ne vaut pas un copec et qu'il faudrai le changer ? non, vraiment, rien que cette idée me fatigue.

pour information et pour l'heure sachez qu'aillant un connaissance intime de mon anatomie ET de la langue française mes accors à mon encontre sont toujours ceux qui me convienne. bien sur, si cela vous trouble vous pouvez me demander pourquoi je suis fou plutôt que beau.


d'ailleurs mettons une régle de suite, ici, vous avez le droit de réagir, de divaguer, de vous laisser entrainer ou de remonter à contre courant... quoiqu'il en soit, se lieu intimococasien est malgrés tout de partage et mon vrai journal intime de petite fille que j'ai garder, est là, prés de moi, quelque part dans le bordel qu'est ma chambre...










LE DEBUT
LE MILIEU
LA FIN
LA SUITE
LE VIDE

sa serrait bien ? sauf que je ne sais pas organiser mes pensées, et non, elles vaque lentement à leurs occupations... et ma fois je les suis de loin voir vers ou elle vont, les rattrapant parfois, les oubliant souvent, les laissant fuir enfin...

se soir, j'en tiens une entre l'œil et l'occiput, un peu perdu dans la masse grissatre et liquide (qui n'a jamais vu de cerveaux, à rater quelque chose, et qui en a disséquer un, peu se sentir... plus flasque).
c'était il y a deux ans, peu être trois, je n'est jamais eu assez de doigts pour compter juste. C'était et sa n'est plus. J'était plus jeune qu'alors et je m'appliquais. il y avait un poisson qui passais et repassais sous mon nez, le Napoléon (qui ne connais pas le Napoléon du bassin au requin de Nausicaa à boulogne-sur-mer loupe un voyage coloré...). Le Napoléon avait una mi, la murégne, mais autant lui paradais autant elle se cachait et les requin silencieux glissais prés des amoureux... moi, je restais immobile, par terre, une main pour garder ma page, une main pour toucher mes cheveux. Le banc de poissons aussi happais souvent le Napoléon qui roayl au milieu de ces dame paradais joyeusement. La muréne tristement sur son doux rocher sombre attendais son amant... Mais la vitre se brisât ne mille éclat soleil sur ma robe de moire... et le soleil éclat à déchirer la robe, et le poisson enfin son partis par la porte s'enfonçant dans l'abime d'un rêve qui s'efface... seule la murène immobile me regardait encore dans son bocal géant. Je m'était égarer, et elle... m'avait trouver. Son beau Napoléon un jour me l'enleva. je m'était endormis au pied de l'arc en ciel, au pied de l'aquarium.


12/01/2008
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