lulli\'s dreams

quand j'y pense, j'en frémi.

Oui, cette histoire est vieille maintenant qui sans souvient ?

Il fait froid aujourd'hui, installez vous confortablement je vais en quelque mots vous expliciter cela. Je vais vous expliquer pourquoi notre pays est depuis 14 ans ce qu'il est devenu.

J'ai menti, oui je l'avoue, je m'en veut, j'ai menti pour sauver ma peau. J'avais voler un tout petit pain au lait dans la boulangerie de quartier, mais je n'était pas seul dans la boutique ! On accusa le jeune Roste -oui c'est bien lui, nous habitions le même coin ésé.

Bref la boulangère appela le gendarme qui se dépêcha d'attraper par le col se collègue de classe. Je ne di rien, blanc comme un linge. Si j'avais su !

On oublia, enfin l'opinion, Roste lui savait tout... Il était beau parleur et se mit nombre de policier dans sa poche en moins de deux. Oui il réussi même à se faire plaindre par le juge, un enfant de riche volant un petit pain, prés à rembourser, le cinéma qu'il fit ! c'était merveilleux, éblouissant.

Tout aurait dus s'arrêter là, le tribunal étant déjà de trop. Mais Roste en avais décider autrement, de policier en policier il se fit des amis dans se beau monde, s'arrangea pour payer certain passe droit... Adroit vous est-je dit ? un virtuose ce jeune !

Comme vous le savez il devint le confident de Ludre, oui Ludre point un autre. Il avait atteint son but et pus faire se qu'il avait toujours prévu et que malheureusement nous subissons tous au jours le jours.

Ludre lui organisa un petit coup d'état, coup d'éclat à en pleurer. Depuis lors Roste est au pouvoir et sévi par l'intermédiaire de ses policiers... Malheur à qui se fait prendre à voler un petit pain au lait : on lui tranche les deux mains sans autre forme de jugement.

Je ne vous raconte cela que parce qu'enfin j'ai décider d'agir. Je me suis trouvé de bon allier, nous allons essayer un tour de force, si sa ne marche pas, l'on ne se reverra jamais.

Adieux donc l'ami, ce soir je dit la vérité et me nome Coupable face au peuple.