lulli\'s dreams

je ne sais plus se qui se passe dans le vaste monde, il parai que le temps est maussade, il parai que le temps et beau fixe, moi je ne sais plus rien, je ne suis pas dehors, je tourne en rond dans ma bulle sans fond, avant il avais moi et le monde, maintenant je suis mon monde, borner, à l'étroits, à l'abris, du moins je le veut, en moi, qui peu m'atteindre ? je ne suis même plus avec mon ombre, je l'es accrocher à un mur, à coter d'un lampadaire blafard, sa lui tiendra compagnie jusque dans le brouillard matinal. A l'hôpital il on diagnostiquer que j'était amputer du coeur, que je savais pas la différence entre un meurtre et un sourire, ils ont même ricaner quand je me suis mordu à froid, sans coeur, pas de sang,  mes dents se sont enfoncer jusqu'à buter sur l'os, pas de veine, pas de distance, adolore. Je me suis enfuis par le trou de la souris. Fuite de courant, j'ai tout fait sautée, de toute façon, rien n'existe plus, je ne mange plus, je ne te reconnaîtrais même pas, je suis nue sur mon carrelage, je suis nue et je ne sais plus mon nom. Il y avait toi et moi, aujourd'hui il n'y a plus que toi, mon monde n'est que néant, je ne me relèverai plus, le frissons qui parcoure mon échine tremper de sueur je l'est suspendu à ton téléphone. La route à bifurquer sans me prévenir et j'ai buter sur le mur, je t'aimais pas, je t'aime pas. Je me réveillerai demain pour en trouver un autre, fallait pas vouloir de moi, fallait pas...
Dans la cellule capitonner je me suis vider de mon eau, j'ai laisser suinter par mes pores tout mon être, il ne reste qu'une carcasses vides qui se regarde de haut et se méprise, je ne souffre pas, je n'est plus de sentiments, amputer, j'ai avaler ma moelle, j'ai lécher mes entrailles pourris. et puis je t'es tué, hier, pour pouvoir être seul, enfin, nue sur le carrelage de mon cerveaux, contre les murs blanc, je ne suis plus que toi.