lulli\'s dreams

lulli\'s dreams

Chère inconue, cher inconu

je ne vous connais pas -cela vaut mieux pour vous-, je ne sais qui vous êtes et encore moins comment.
Je vous écrit, soir de tristesse, soir de lassitude, je n'attend pas de réponse.

Je pourrai cité de grand auteurs qui avant moi on eu à écrire de tel lettre, je m'en priverai  pourtant. Peut être que je vous est croisé, peut être que vous m'avez souri, peut être que s'est à votre bébé que mon sourire était destiner et qu'il à ricocher sur vos lèvre, et peut être pas. Dans un bus, un métro, un bar avons nous échanger quelque mot poli, quelque mot "de circonstance" ? Cela est probable. M'avez vous frôler en passant, glisser un mot doux à l'oreille "Vous êtes charmantes mademoiselle" ou juste regardez cacher derrière un journal, un livre, le son de votre disc-man trop fort qui me dérange, de belle lunette de soleil qui m’empêche de voir la couleur de vos yeux. Sans doute m'avez vous vieillie, ne soyer pas déçus d’apprendre alors que je n'est pas vingt ans. Si j'avais était seule vous m'auriez accoster qui sait. Je lit souvent pencher, j’écris parfois mais je vous regarde, vous tous. J'aime regarder pour échanger des regards, des sourire, des rires parfois, je vous aime lorsque vous répondez spontanément dirai-je, je vous aime aussi quand votre religions -votre timidité?- vous font baisé les yeux, je vous aime toujours si vous me respecter.
Et puis voilà votre arrêt arrive vous descendez trop tôt en un dernier regard, vous ne souriez plus vous êtes accompagné, vous fuyez devant moi en marchant bien trop vite ou vous ralentissez, vous vous moqué de moi, vous faites une remarque désobligeante, votre ami(e) se jette à votre cou, vous replonger dans votre livre, vous regardez ma voisine beaucoup plus belle que moi, votre enfant vous réclame attention, en un mot vous m’abandonner là.

A vous donc cher inconnu, chère inconnue qui n'avait pris le temps de mieux faire connaissance sachez seulement ceci : je vous aimais alors, je vous aime encore. Et je graverai ses mots sur les murs de ma ville, je les chanterai partout ou mes pas me mèneront peut être un jours l'un de vous s’arrêtera, peut être qu'un jours l'un de vous m'aimera.


06/02/2007
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