lulli\'s dreams

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Changement de vie

J'étais allonger dans l'herbe brune d'un matin frileux quand on m'a réveiller.

Dans un lis tendu de bleue.
Mes paupière encore lourde tentais de faire un lien entre deux monde... quand mon regard fut happer par le sien.

Lui, il avait les yeux noir, noir charbonneux, et comme maquiller de fatigue et de cernes... Il me souriait, il devais avoir 20 ans peu être un peu moins. Je tentais de me souvenir de ces traits, de me remémorer une rencontre antérieur...

Il s'assis près de moi, sans un mot, comme attendant encore un peu, je voulais me lever mes le pois de mon corps me forçais à l'immobilité.
Il susurra un vague "maman" tout bas... comme s'effaçant déjà dans les méandres de mon cerveaux malade...

Il était beau, beau et je pensais avoir son âge, moi qui ne le connaisait pas... il se devais d'être mon prince et voilà se maman qui s'insinuait entre nous, se décalage du temps, cette perte de mémoire... Reprenant ma respiration je murmurais si bas que seul ces oreilles à l'affut pur entendre que je ne savais plus où j'était...

Il me souris alors, me bordant comme lors de mon enfance, il voulut m'expliquer, ma vie, sa vie à mes cotés, l'homme qui le fit, mes années de mort-respirante... il voulut me faire comprendre...

Je n'avais donc plus 20 ans depuis longtemps, l'herbe brune dont l'odeur emplissait encore mes narines n'avais peu être pas exister, je revis mon passé, mon passé qui était tout se qui me restais, ma folie d'autre dirais, oui, je pensais à ces visages perdu, à la faculté, à ma chambre, à mes folie de jeunesse...

Mon regard croisât celui de mon fils, le croire ou pas n'avais plus d'importance, si sa n'était pas le comas mais de la magie, cela ne changeait rien, de mon passé il ne me restais rien et de mon futur, se beau jeune homme me promettais de l'aide...

Il me dis s'appeler Pierre, il ne pouvais en être autrement. Pierre. Si j'avais était seule il se serrait nommer Loup. Pierre. Pierre. Pierre me présentât mon maris que je ne reconus en rien, Pierre me présentât à tout le monde...

Plus il m'inventais ma vie et plus l'ancienne devient roman...
A 54 ans, Pierre avait fait de moi une romancière, une inventrice de vie, une créatrice. Qu'il fut mon fils ou pas, n'avais pas d'importance, il était beau et il voulais que je fut sa mère.

L'avant, n'importait déjà plus.


10/02/2008
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